
La bio-résonance cellulaire
« Je ne suis rien, je suis le canal qui permet au corps de l’autre de retrouver sa parole perdue » Véronique Brousse
Les traumatismes vécus durant les 27 mois d’engramme ont provoqué des cristallisations bloquant la circulation de l’énergie dans le corps. Le but est de rechercher à travers le système énergétique du corps ces cristallisations, qui vibrent autrement, au travers des mots. La bio-résonance cellulaire est une technique d’investigation du corps, interrogation des mots pour retrouver les maux. Elle sert à décrypter, mettre en lumière ce que le corps a enregistré et dont nous n’avons pas conscience.
Le praticien est à l’écoute du corps du patient, par captation des vibrations du corps en posant sa main sur son bras. Le corps va vibrer lorsqu’une énergie bloquée rencontre un mot, une phrase qui résonne avec une de ses souffrances. C’est inconscient.
Les mots et phrases sont répertoriés dans des tableaux que le praticien balaye jusqu’au moment où se fait sentir une différence de mouvement et de vibration dans le bras. Ils viennent éclairer sa problématique, lui permettant une prise de conscience.
Un protocole guide le praticien qui, à partir de l’objectif émis par le patient, va poser les questions que le corps va entendre et répondre au travers des tableaux.
• Quelle est la 1ère résonance du corps?
• Quelle en est la cause ? La conséquence dans la vie du patient ?
• Quelles sont les ressources dont dispose le patient pour qu’il se libère et que cela se transforme ?
On peut tester les âges en lien avec le sujet. La grille en vie va enrichir les recherches en parallèle, elle va montrer les schémas répétitifs, les comportements aberrants. Le rapprochement avec les événements de sa vie, libérera le patient lors de la rééducation.
« Savoir pour le corps, c’est pouvoir faire » dit Mère.
On peut consulter également dans la généalogie quel est l’ancêtre dont les mémoires seraient encore activées chez le patient.
Le praticien a toujours en tête le projet-sens du patient, véritable fil rouge de son histoire, qu’il s’agit de dénouer. Une relation de confiance s’établit entre le praticien et le patient. Ce dernier doit se sentir en sécurité. Le corps ne délivrera que ce qu’il est capable de délivrer à un moment donné, il n’y a donc aucun risque pour lui, sinon se sentir mieux et plus libre !
A la fin de la séance, le praticien rédige le conte de la séance, une rééducation est décidée en commun, rééducation que le patient s’engage à effectuer.